Une étude franco-québécoise (Institut national de la jeunesse et de l’éducation populaire INJEP / Printemps CNRS – Université de Versailles-Paris Saclay/Chaire de recherche du Canada sur l’évaluation des actions publiques en faveur des jeunes et des populations vulnérables) publie un rapport de recherche sur l’engagement des jeunes ex-placés en France et au Québec dans les groupes d’entraide.
Pour Isabelle Lacroix, chercheuse responsable de l’étude : «les organismes de jeunes ex-placés contribuent directement à l’orientation des changements en protection de la jeunesse, en plus de constituer une source importante de soutiens affectifs et matériels pour les jeunes.»
Pour Martin Goyette, professeur et responsable de l’étude EDJeP, «les problèmes systémiques soulevés par la Commission Laurent doivent trouver une solution en mettant les jeunes au cœur des solutions. Or au Québec, le financement pour les organismes de jeunes ex-placés est quasiment inexistant, une aberration».
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